Dans le cadre de la procédure d’élaboration du Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) de la Communauté de communes de Lacq-Orthez, une nouvelle réunion publique est programmée lundi 15 avril à 18 h à la salle socioculturelle.
Cette rencontre permettra de présenter à la population les grandes orientations du Projet d’aménagement et de développement durables (PADD), clé de voûte du futur document d’urbanisme.
L’USB Arthez-Lagor joue son match de barrage en Challenge de France, dimanche 14 avril, à 15 h à Lagor, contre l’US Herm Rugby.
La minorité s’interroge sur le projet du maire concernant les anciennes poste et perception.
Le conseil municipal réuni mercredi 10 avril a voté le budget primitif 2024 qui est équilibré à la somme totale de 2 873 034 €, soit 2 046 371 € en fonctionnement et 826 663 € en investissement.
Ce budget a été approuvé par la majorité (10 présents + 5 procurations) alors que la minorité s’est abstenue (3 présents + 1 procuration).
Les taux d’impôts locaux restent inchangés : foncier bâti 31,61%, foncier non bâti 47,57%, taxe d’habitation 14,53%. Le produit attendu est de 1 025 417 €, contre 970 073 € en 2023, soit 5,7% de plus en raison de l’augmentation des bases.
La minorité, par la voix de Jean-Luc Deleau, constate que « c’est un budget comptable équilibré » mais explique le vote d’abstention par le fait que « cet avant-dernier budget de la mandature ne reflète aucune ambition pour la commune puisqu’il n’y a rien de prévu en investissement ».
Et il souhaiterait « avoir des informations sur l’aménagement du centre-bourg et la destination des bâtiments des anciennes poste et perception ».
> Problème de méthode
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Les messes de la paroisse Saint Jacques en Saubestre auront lieu samedi 13 avril à 18 h à Audéjos et dimanche 14 avril à 11 h à Arthez de Béarn.
Les discours sensés de Nathalie Bianco et Samuel Piquet ont vivement intéressé la trentaine d’auditeurs présents au Pingouin Alternatif.
La conférence proposée par Mathieu Turon, jeudi 4 avril au Pingouin Alternatif, a permis de montrer que le bons sens peut encore exister face aux absurdités du langage et aux dérives de notre société.
Samuel Piquet, collaborateur au Gorafi, a basé son propos sur quelques Unes de ce site d’information parodique qui critique, à travers la dérision, les ridicules et les faiblesses des discours officiels. « Les personnalités politiques, et le Président de la République au premier chef, souligne le conférencier, utilisent trop souvent une parole vide de sens, éloigné de la réalité des gens auxquels elle s’adresse ».
Et il cite quelques mots et expressions phares, au sens très faible comme « vivre ensemble » qui est un aveu d’échec, ou contraire à ce qu’ils signifient « j’assume… en responsabilité… pas d’amalgame ». À l’école, on parle de « compétences » à la place des connaissances et du savoir, ou de « bienveillance » plutôt que d’exigence.
Samuel Piquet évoque également les anglicismes des discours présidentiels, censés défendre pourtant la langue française, et le langage managérial : « agilité… résilience… savoir rebondir… ».
Au final, il pointe les dangers de ces abus : « perte de la nuance, polarisation, individualisme, décalage avec la réalité ».
> Féminisme universaliste
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