Victor Garcia, avec l’AFP, revient dans l’Express sur un « triste record » : 2014 puis 2015 avaient déjà pulvérisé tous les records de chaleur. 2016 a fait encore pire. C’est ce qu’indiquent les derniers relevés de l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), qui a mesuré les températures mondiales entre janvier et décembre 2016.
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