Tania de Montaigne, dans une chronique du journal Libération, évoque les dérives du langage des hommes politiques. « Désormais, les hommes et femmes politiques se répandent sans limites, substituant à l’hyper-contrôle d’hier, l’hyper-relâchement. Par opposition à la «langue de bois», ils ont fait naître un autre langage : «le gazouillis». Une langue directement en lien avec le premier stade de l’enfance, celui où on ne contrôle pas ses orifices. »
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