Gilles Mardelle a montré que sa commune, de 343 habitants, était véritablement tournée vers l’avenir.
Lors de la cérémonie des vœux à la population, dimanche 29 janvier, le maire Gilles Mardelle a souligné « la qualité de vie de Castillon d’Arthez, un village du 21e siècle prêt à relever les grands défis qui attendent le monde rural ».
Il a ainsi évoqué « la revitalisation du centre bourg » avec le city-stade et l’aire de jeux, la rénovation de la voirie, l’installation de la fibre optique…
Mais Castillon se veut aussi « une commune responsable » : passage progressif à l’éclairage Led, enfouissement des réseaux, pompe à chaleur à la mairie, réduction de la durée d’éclairage public et coupure l’été…
Le maire a insisté également sur le Plan local d’urbanisme intercommunal à l’étude : « Ce travail doit permettre de repenser notre modèle de développement. Nous allons le mener avec la CCLO, de manière engagée mais attentive à préserver les intérêts locaux ».
Par ailleurs, les travaux d’amélioration de voirie se poursuivront et des caméras de vidéoprotection seront installées au centre bourg.
> Épicerie participative
Mais le grand projet demeure l’ouverture de l’épicerie participative avec café communal, prévue au 1er mai 2024 : « À ce propos, précise le maire, je félicite tous les acteurs, élus et bénévoles associatifs, pour leur engagement et leur efficacité. Je remercie également les partenaires institutionnels qui ont accordé 80 % de subvention à ce beau projet ».
Enfin, Gilles Mardelle a souligné la dynamique associative de son village autour du comité des fêtes, des parents d’élèves, des chasseurs et des aînés de Plaisir de vivre.
Le conseiller départemental Bernard Dupont s’est réjoui de « ce beau moment de chaleur humaine » : il a félicité le maire d’avoir insufflé « ce dynamisme communal dans un esprit d’entreprise indispensable à un milieu rural fragilisé ».
Le président de la CCLO Patrice Laurent a dit observer avec plaisir cette « commune laboratoire où espérer, animer et vivre ne sont pas de vains mots ».
Enfin le sénateur Max Brisson a mis en valeur « ce lien social au plus près des habitants pour faire vivre la commune, base et ferment de la démocratie ».
