
La cité Bourdalat, notamment, a permis d’accueillir de nombreux ouvriers venus travailler sur le complexe de Lacq.
Ce n’est pas un poisson d’avril… mais le projet un peu fou qui a été lancé en novembre 1956 quand le Groupement d’Urbanisme du Bassin de Lacq décide l’édification d’une cité nouvelle sur le territoire d’Arthez de Béarn, afin de répondre au besoin de logements imposé par le développement de l’exploitation du gisement de Lacq.
- Cette histoire est évoquée notamment dans le TER de Géographie rédigé en 1971 par Francis Toral.
À l’époque, un 1er plan d’urbanisme avait déterminé que la SNPA (Société Nationale des Pétroles d’Aquitaine) avait besoin de 1 400 logements, EDF de 200, Péchiney de 350 et Aquitaine Chimie de 500.
Pour limiter au maximum les charges des collectivités, le Groupement d’Urbanisme pense qu’il est préférable d’éviter une dispersion de ces logements : c’est ainsi qu’a été conçu le grand projet d’Arthez la Neuve.
Il va être élaboré en partenariat avec une association qui a vu le jour en octobre 1956, « L’association pour revaloriser et embellir les immeubles d’Arthez de Béarn ».
> 500 à 600 logements
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