Dans une tribune de Libération, l’écrivain Arthur Dreyfus adresse une lettre à François Fillon, le favori de la primaire de droite qui n’a pas réagi au retrait de la dernière campagne de prévention contre le virus du sida dans certaines villes. « Il me semble qu’un homme politique, plus encore un candidat à la présidence de la République, avant de s’inquiéter de la bonne morale, ou de réhabiliter une police des vertus, se doit de veiller à la santé de ses concitoyens, comme à la santé de son économie nationale, » affirme-t-il, en qualifiant ce comportement « non seulement contre-productif mais aussi criminel ».
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