Il y a des jours où l’émotion submerge tant le propos est grave. Nicole Ferroni n’a pas pu retenir ses larmes, mercredi matin, à la fin de sa chronique consacrée à Alep, lors de la matinale de France Inter. «La guerre a avalé toutes les couleurs pour mettre du noir à la place, la guerre, c’est l’horreur», a-t-elle conclu, la gorge nouée devant Patrick Cohen, alors qu’elle venait d’évoquer les mots de son «papa». «Tu vois des fois Nicole, on dit : les hommes se mangeaient, et on appelait cela du cannibalisme, et un jour, peut-être qui sait, la guerre sera si loin derrière l’humanité, qu’on pourra dire : les hommes se tuaient, ils appelaient cela, la guerre».
Abonnez-vous à ce blog par e-mail.
Poème du jour
Citation du jour
De Facto
Commentaires récents
- Marlus dans La fleuriste fleurit les tombes… un beau geste qui interroge
- Adeline Toral dans La fleuriste fleurit les tombes… un beau geste qui interroge
- DARRACQ André dans La fleuriste fleurit les tombes… un beau geste qui interroge
- Arnaud dans Diagonale des Fous : Laurent Minvielle est allé au bout de son rêve
- Nosjean Nathalie dans Diagonale des Fous : Laurent Minvielle est allé au bout de son rêve
-
Articles récents
Catégories