Pascal Roubit accepte avec fatalisme ce nouveau confinement : « Je ne fais pas de plats à emporter car c’est compliqué sur le plan logistique et il n’y a sans doute pas une clientèle potentiellement assez importante pour ce type de restauration que d’autres mettent en place, et c’est très bien comme ça. »
Relativement pessimiste, il s’apprête à vivre une situation difficile jusqu’à la fin de l’année.