« Féminin plurielles » va poursuivre son aventure avec une soirée au Coin Cosy, vendredi 6 décembre, autour de la parole des femmes.
Elles étaient neuf, neuf femmes réunies à Arthez-de-Béarn mardi 5 novembre au Coin Cosy, le restaurant atypique de Nathalie Nosjean, pour préparer une soirée inédite de lecture, vendredi 6 décembre, autour des portraits rédigés par Gisèle Montaut dans son nouvel ouvrage « Féminin plurielles ».
L’autrice était entourée pour l’occasion de Clarisse Rose, Françoise Boisgontier, Lucie Salharanc, Delphine Chériti, Annie Roth, Chantal Bernez Vignolle, de l’aquarelliste Colette Tilhou et de leur hôte Nathalie Nosjean.
« Mon livre va vivre une nouvelle aventure à travers cette rencontre et la soirée qui se prépare, se réjouit Gisèle Montaut. Place désormais à la parole libre de ces femmes ».
Dans une discussion riche et vivante, chacune exprime son sentiment d’être représentative des femmes dans leur ensemble, à travers le combat permanent qu’elles mènent pour être reconnues : « Nous sommes à la fois uniques et multiples, c’est ce qui fait notre richesse ».
> Arriver à se réaliser
Tous les parcours relatés dans le livre sont révélateurs d’une force exceptionnelle : « Les difficultés nous rendent plus endurantes, plus déterminées à aller au bout de ce que nous entreprenons ».
L’ouvrage, dont la démarche a été bien accueillie, mais non sans une certaine curiosité, leur a permis de se lancer dans « une nouvelle aventure », de s’ouvrir à « d’autres personnes, d’autres univers ».
Elles sont d’ailleurs unanimes : « Ces portraits sont des photos de vies qui pourraient être celles de n’importe qui ». Et elles ajoutent : « Notre histoire montre qu’il faut savoir s’accepter, arriver à se réaliser en assumant les conséquences de nos choix, agir toujours avec honnêteté et justesse ».
En tout cas, disent-elles, « ce livre révèle ce que nous avons vécu, ce que nous sommes, nous les femmes, avec élégance et précaution ».
Et elles concluent : « Nous avons des choses à dire, pas à prouver. Nous espérons permettre à d’autres de prendre conscience de ce qu’elles peuvent faire, même s’il n’est pas toujours confortable de passer le cap, d’oser changer ».