Dans le magazine Sciences et Avenir, Loïc Chauveau résume et commente le rapport « Planète vivante » de l’ONG environnementale WWF qui informe sur la dégradation grandissante des écosystèmes de la Terre. L’indicateur de la dégradation de la biodiversité démontre que « du fait de la pression humaine, le capital naturel diminue plus vite qu’il ne peut se régénérer ». Une bonne nouvelle quand même : l’empreinte écologique des pays riches diminue.
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