Il y avait très peu d’enfants, samedi 15 juin, pour écouter les contes dits du bout des doigts, par les compagnons de Pierre Ménard.
Et pourtant, ce fut un moment magique de beauté, de poésie et d’humour, avec la rencontre détonante entre deux langues : un langage oral et un autre, étrange et fascinant, le langage des signes. Le tout a permis de donner vie à un conte merveilleux, peuplé de personnages burlesques et sympathiques.