Quelques photos des années 60, où l’école publique était installée dans les locaux tout neufs du collège (le CEG à l’époque).
- Février 1961
- février 1962
- F évrier 1963
Quelques photos des années 60, où l’école publique était installée dans les locaux tout neufs du collège (le CEG à l’époque).
Christophe Simon propose, pour le restaurant Célia, ses plats à emporter au marché de ce samedi 10 avril.
Navarin de souris d’agneau printanier : 14,90 € le kilo.
Parmentier de canard au cèpes et patates douce : 14,90 € le kilo.
Lasagne façon Bolognaises : 12,90 € le kilo.
Filet de canette farcie poire williams et foie frais : 7,50 € pièce.
Riz au lait et raisin confit au rhum don papa : 9,90 € le kilo.
3 Cannelés de Bordeaux au rhum brun : 3,00 €.
Les messes de la paroisse St Jacques en Saubestre auront lieu samedi 10 avril à 17 h à Arthez de Béarn, dimanche 11 avril à 9 h à Saint Médard et 11 h à Gouze (à 14 h 45 à Arthez de Béarn, chapelet et vêpres), lundi 12 avril à 11 h à la chapelle du Cagnès.
À côté des photos anciennes du village, on peut aussi évoquer le passé à travers des photos de classe : certains pourront y reconnaître quelques visages enfantins… avec un peu de nostalgie et de plaisir.
Les photos ci-dessous sont prises devant la mairie, qui abritait l’école communale.
N.B. : Ceux qui possèdent d’anciennes photos de classe peuvent les faire parvenir pour enrichir l’album souvenir.
Serge Castéra-Garly, figure emblématique du village, nous a quittés.
Il est né en 1929, à Arudy, village dans lequel il passe son enfance et où il poursuit sa scolarité. Puis il part pour le Maroc afin d’effectuer son service militaire. Il rencontre Marie avec laquelle il s’unit en 1954. De cette union naîtront 2 enfants, Nicole en 1957 et Pierre en 1964, qui lui donneront 3 petits-enfants et 5 arrières petits-enfants.
Mécanicien en charge de tout le matériel agricole sur une grande propriété marocaine, il revient malgré tout en France 1969 et retrouve son Béarn natal. Dans un premier temps il prend en gérance la station-service d’Argagnon et en 1971 le couple s’installe à Arthez où il va créer un garage au quartier Bergoué et deviendra concessionnaire de la célèbre marque française au losange.
Mécanicien émérite et ambitieux, il fera évoluer son garage au fil des nouvelles technologies. En parallèle, il sera sapeur-pompier volontaire pendant 19 ans au service de ses concitoyens. Avec ses amis du club des « Vielles Lances », il restera toujours fidèle aux sapeurs-pompiers.
Homme de contact, il va pendant des décennies s’investir auprès de nombreuses associations telles que comité des fêtes, chorale, club de foot… Personnage affable, il aimait rendre service, bricoler, rencontrer et développer autour de lui une convivialité particulièrement appréciée.
À sa famille et à ses proches, nous adressons nos sincères condoléances.
Le manifeste des 343, surnommé par la suite manifeste des 343 salopes, est une pétition française parue le dans le no 334 du magazine Le Nouvel Observateur.
C’est, selon le titre de la pétition parue à la une du magazine, « la liste des 343 Françaises qui ont le courage de signer le manifeste “Je me suis fait avorter” », s’exposant ainsi à des poursuites pénales pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement. L’avortement en France était à l’époque illégal, et pratiqué clandestinement dans des conditions risquées ayant conduit parfois jusqu’à la mort.
La France assiste alors à un appel pour la dépénalisation et la légalisation de l’interruption volontaire de grossesse qui ouvre la voie à l’adoption, quatre ans après, de la loi Veil, marquant ainsi une grande avancée dans les libertés accordées aux femmes.
Le manifeste, rédigé par Simone de Beauvoir, commence par ces phrases :
« Un million de femmes se font avorter chaque année en France. Elles le font dans des conditions dangereuses en raison de la clandestinité à laquelle elles sont condamnées, alors que cette opération, pratiquée sous contrôle médical, est des plus simples. On fait le silence sur ces millions de femmes. Je déclare que je suis l’une d’elles. Je déclare avoir avorté. De même que nous réclamons le libre accès aux moyens anticonceptionnels, nous réclamons l’avortement libre. »
> Une égalité réelle dans tous les domaines Continuer la lecture
Dans le cadre de la quinzaine nationale « Tous au compost », la Communauté de communes de Lacq-Orthez a organisé, samedi 3 avril à la déchetterie d’Arthez de Béarn, une animation originale destinée à promouvoir le compostage et l’utilisation des déchets verts.
Cet événement national annuel, auquel s’associe la CCLO, est organisé par le Réseau Compost Citoyen qui entend valoriser la pratique du compostage de proximité des déchets organiques.
Régis Cassaroumé, vice-président délégué à la collecte et au traitement des déchets, qui était sur place, précise : « Ce type d’actions s’inscrit dans une politique globale de prévention, de réduction et de tri des déchets engagée par la CCLO. »
Aux côtés de Sandrine Boyer, responsable de la déchetterie arthézienne, Camille Bonneau, chargée de communication à la CCLO pour le tri et la prévention des déchets, a donc animé un stand afin d’informer, sensibiliser et convaincre les usagers : « Il n’est pas inutile, souligne-t-elle, de rappeler les bons gestes pour changer les habitudes et mettre en place un mode d’entretien de son espace vert plus respectueux de l’environnement. »
> Environnement et économie
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