Samedi 27 mars, le traiteur Célia proposera, sur le marché d’Arthez de Béarn, sa fameuse paella réalisé et cuite sur place à 12,90 € le kilo.
Christophe Simon affichera à cette occasion son futur menu pascal.
Le site officiel de la mairie informe qu’un centre de vaccination Covid 19 va ouvrir à Arthez de Béarn ce lundi 29 mars, à partir de 9 h 30, à l’Espace socioculturel (place Cézaire).
« Dans le prolongement de la création d’un centre de dépistage de la COVID19 sur la commune d’Arthez-de-Béarn depuis plusieurs mois maintenant à l’Espace socioculturel, la municipalité, appuyée par les services locaux de santé, s’est portée candidate à l’ouverture d’un centre de vaccination.
La Préfecture des Pyrénées-Atlantiques et la Direction de l’ARS ont validé cette démarche et nous sommes heureux d’annoncer à nos concitoyens que ce centre de vaccination, très attendu par bon nombre d’entre vous, sera opérationnel le lundi 29 mars prochain , à partir de 9 h 30, à l’Espace socio-culturel (situé place Cézaire à Arthez-de-Béarn).
Le vaccin qui sera administré sera de type « Pfizer ».
Les réflexions sur l’avenir de la commune vont occuper largement – et légitimement- l’actualité des semaines et mois à venir, notamment à travers la démarche FENICS qui se met en route.
Alors pourquoi parler encore du passé ? Alexis de Tocqueville disait : « Quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres ». Et Victor Hugo n’était pas en reste : « L’avenir est une porte, le passé en est la clé ».
Sans verser dans une nostalgie stérile, il n’est pas inintéressant de jeter un regard en arrière, de réaliser qu’Arthez de Béarn est riche d’une longue histoire dont nous sommes les héritiers, maillons d’une chaîne humaine qui nous relie à nos prédécesseurs comme aux générations futures.
> Le nom du village
Son appellation a varié au fil des siècles : ARTES (1220), ARTESIUM (1305), ARTHES (1345), ARTHEES (fin 14e), ARTHES à nouveau (fin 18e), ARTHEZ (fin 19e).
Le nom actuel, ARTHEZ DE BÉARN, date seulement du 24 juin 1950, à l’initiative du Dr Damien Costedoat, conseiller général : il s’agissait d’éliminer les multiples erreurs, notamment dans la distribution du courrier, provenant de la confusion entre ARTHEZ et ORTHEZ, par le simple fait d’une première lettre mal écrite. La distinction s’opérait aussi nettement avec l’homonyme ARTHEZ d’ASSON (sans oublier ARTHEZ d’ARMAGNAC).
Le nom béarnais est Artés. Michel Grosclaude, dans son « Dictionnaire toponymique des communes du Béarn » (1992) indique que le toponyme Arthez pourrait être formé du radical méditerranéen arte (« chêne vert » puis « broussailles »), et du suffixe collectif basque -etz. Il propose donc le sens « végétation de broussaille ».
> Quelques vues anciennes
N.B. : Diaporama réalisé avec l’aimable collaboration de Jean-Pierre Dufau. D’autres vues anciennes d’Arthez doivent exister. Si certains lecteurs en possèdent et qu’ils veuillent bien nous les transmettre, elles ne pourront qu’enrichir ce patrimoine illustré. Merci d’avance.
Et du côté des anciens commerçants et artisans, ce n’est pas fini : la liste se complète toujours !
Nathalie Nosjean prépare, au Coin Cosy, un plat spécial à emporter pour ce samedi 27 mars.
Dernier délai pour commander, jeudi 25 mars 14 h, au 07 07 81 47 27 74 ou par mail : au.coin.cosy@gmail.com
Les premiers noms à ajouter à la liste des commerçants et artisans actuels arrivent :
Les parents qui souhaitent inscrire leur(s) enfant(s) dans une des écoles gérées par le SIVOM (Arthez de Béarn, RPI Arnos-Boumourt-Castillon-Doazon, Hagétaubin, Casteide-Candau, Argagnon) doivent prendre contact avec le secrétariat du Syndicat intercommunal au 05 59 67 49 10.
Sont concernés les enfants des nouveaux arrivants et les petits de 2018 qui font trois ans dans l’année.
Si la commune d’Arthez de Béarn a bénéficié dans le passé, comme nous l’avons vu, d’une belle vitalité commerciale et artisanale. elle conserve aujourd’hui encore un riche panel de services variés qui répondent, en grande partie, aux besoins de la population.
Par rapport aux décennies antérieures, pas mal d’activités ont été conservées, même si les artisans et commerçants qui les exercent ont changé (quand il ne s’agit pas de succession familiale).
En même temps, des activités ont bien sûr disparu (charron, bourrelier, sabotier…) alors que de nouvelles sont apparues (immobilier, esthétique, pizzeria…).
N.B. : Comme la liste précédente, celle-ci sera à n’en pas douter imparfaite : toutes les contributions pour la compléter sont donc, ici encore, les bienvenues.