Trois places rénovées

Le nouvel enrobé de la place de l’église met bien en valeur le monument aux morts.

La rénovation de trois places de la Carrère (Saubestre, Église, Temple) en un bel enrobé a été réalisée en un temps record de sept jours .

« Nous avons travaillé rapidement, explique le conducteur des travaux de l’entreprise Rey-Betbeder Gilles Larricq, afin de pénaliser le moins possible les usagers ».

Initié par la municipalité arthézienne en partenariat avec la CCLO, ce chantier était devenu une priorité, tant ces places étaient dégradées. La Communauté de communes de Lacq-Orthez a donc intégré ces travaux dans son programme annuel de revêtement, pour un coût global de 36 000 €.

> Encouragement aux entreprises

« Cet investissement constitue un encouragement au redémarrage économique des entreprises du Bassin de Lacq, précise Philippe Garcia, maire et vice-président de la CCLO. »

Quant à Jean-Paul Grinet, responsable voirie de la CCLO, il souligne : « Nous effectuons des rénovations simples mais efficaces, réalisables rapidement et faciles à entretenir. »

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Service des déchets

La déchetterie poursuit ses extensions d’horaires.

Jeudi 21 mai, jour férié de l’Ascension, la collecte des bacs jaunes de tri sera assurée par la Communauté de communes de Lacq-Orthez. En revanche, la déchetterie sera fermée.

Néanmoins, afin de continuer à fluidifier l’accès et dans le respect des règles sanitaires, l’extension des horaire se poursuit : du 18 au 30 mai, la déchetterie d’Arthez de Béarn sera donc ouverte les mardi, mercredi, vendredi et samedi de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h 30.

Service des déchets

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Déconfinement : le point sur l’hôpital… Inquiétant !

Le Dr Christophe Prudhomme est médecin au Samu 93. Son billet dans l’Humanité du mercredi 13 mai s’intitule « Amertume ».

« Alors que le déconfinement est vécu comme une libération par la population, il n’en va pas de même à l’hôpital. La mobilisation a été fatigante, mais la solidarité a permis de tenir. Tout le monde s’accorde sur le fait que l’ambiance de travail pendant ces quelques semaines a été bien meilleure que ce que nous avons connu ces dernières années. Les renforts venus d’autres régions, les petites attentions du boulanger, l’amélioration des repas… Tout cela nous apportait un peu de soleil au quotidien Mais, depuis quelques jours, nous revenons aux repas de l’hôpital dont tout le monde connaît la qualité, nous nous retrouvons de nouveau avec des plannings en sous-effectifs

En bref, nous revenons à la vie d’avant, ce qui, psychologiquement, est très dur à supporter. La tension retombe au niveau de l’intensité du travail, mais elle devient palpable dans les relations entre collègues, avec la hiérarchie et les directions. Nous venons par ailleurs d’apprendre que la fameuse prime ne sera pas versée en mai, mais en juin. Nos collègues en CDD n’ont aucune perspective concrète de titularisation alors qu’ils se sont dépensés sans compter pendant la période la plus difficile. Et, cerise sur le gâteau, un de mes collègues ambulanciers, dont le dossier a été accepté dans une école d’infirmiers.ères, se voit refuser la prise en charge financière de sa formation. Son amertume est teintée de colère. Alors que des lits sont fermés aujourd’hui parce que nous manquons d’infirmiers.ères, le dispositif de promotion professionnelle permet d’avoir à disposition, sous contrat pendant au moins cinq ans, les professionnels dont les études ont été financées par l’hôpital.

Nous voyons bien ici la perversité des gens qui nous dirigent. Ils créent sciemment une pénurie de professionnels pour rendre inéluctables les restructurations et les diminutions de capacités hospitalières. Ils viennent nous expliquer ensuite la bouche en cœur, ces faux-culs, qu’ils ne sont pas responsables et qu’il n’y a pas d’alternatives. Eh bien si, une autre politique est nécessaire et possible. Puisque la vie reprend, nous allons aussi reprendre nos mobilisations pour obtenir la satisfaction de nos revendications légitimes et qui, j’ose le croire, seront soutenues massivement par la population qui nous a applaudis. »

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Ces visages rendus anonymes…

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Déconfinement : ce qui se cache derrière le masque

En 1918, on fabriquait des masques contre la grippe dite « espagnole ».

Comment allons-nous vivre le port du masque rendu obligatoire par le Covid-19 ? Effrayant sur Dark Vador ou séduisant sur Zorro, signe de civisme en Chine, marque de duplicité en France… Selon les cultures, le traitement artistique ou l’actualité, les lectures souvent contradictoires ne manquent pas !

Luc Le Chatelier, dans Télérama, nous propose une réflexion très riche.

Sortir, masqués. Dans la rue, le métro. Et maintenant, aussi au bureau ? En quelques semaines, le Covid-19 a fait de nous des confinés. D’abord entre quatre murs, puis derrière un bout de tissu. Après l’invisibilité, nous voilà silhouettes anonymisées et mutiques – comment parler muselé ? – gardant la bonne « distanciation sociale » dans la queue devant le supermarché, dans le bus, entre collègue… Et là, malaise. Comment respirer ? Comment se comporter face aux autres ? Comment leur parler et les comprendre ? Le sourire se voit-il ?

L’objet passe mal. D’abord parce qu’il contrevient aux fondements de notre culture républicaine : dans l’espace public, on sort à visage découvert. Sans remonter jusqu’aux philosophes des Lumières, qui, selon Frédéric Keck, directeur du laboratoire d’anthropologie sociale au CNRS, désignaient le masque – utilisé par la noblesse pour ses frasques libertines – comme la quintessence de l’hypocrisie, rappelons simplement les débats sur le voile.

Et la loi du 11 octobre 2010 qui en a découlé pour interdire « le port de cagoules, de voiles intégraux (burqa, niqab…), de masques ou de tout autre accessoire ou vêtement ayant pour effet de dissimuler le visage ». Pensons aussi à l’ultime mouture de la loi anticasseurs, le 11 avril 2019, en plein mouvement des Gilets jaunes — il y a un an à peine ! Son article 6 crée « un délit de dissimulation volontaire du visage puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ».

> Derrière le masque, on devient autre
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Réfection des places

La réfection de trois places de la Carrère avance.

Réalisés par l’entreprise Rey-Betbeder, à l’initiative de la municipalité et sous la maîtrise d’ouvrage de la Communauté de communes de Lacq-Orthez, ces travaux vont permettre de donner un aspect plus accueillant aux places du Saubestre (photo), de l’église et du Temple.

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L’École Saint-Joseph est prête

L’école privée Saint-Joseph ouvre ses portes de manière progressive à partir de ce jeudi 14 mai et prépare en même temps la prochaine rentrée scolaire (information ci-dessous).

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Réouverture de la bibliothèque

La bibliothèque municipale rouvre ses portes samedi 16 mai.

En raison de la réglementation sanitaire en vigueur, le quota d’emprunts sera de 3 documents par carte afin de ne pas bloquer les fonds disponibles, en effet les documents retournés sont mis en quarantaine 15 jours.

La bibliothèque accueillera 5 personnes au maximum en même temps afin de pouvoir respecter les distances de sécurité ; le retour des documents empruntés avant le confinement est obligatoire avant tout nouvel emprunt ; du gel désinfectant sera mis à disposition et le port du masque est recommandé.

Nouveaux horaires d’ouverture temporaire : mercredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h ; samedi de 9 h 30 à 12 h.

Contact > Téléphone 05 59 67 79 19 ; mail : bibliotheque-arthezdebearn@orange.fr

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